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Lights Crossing est le titre d’une oeuvre d’art qui fait partie du pont urbain ‘De Oversteek’ (‘La traversée’) à Nijmegen. Le pont fût dessiné par le bureau belge Ney / Poulissen. Il lie les rives de la rivière ‘Waal’ à Nijmegen aux endroits même où les soldats Américains réalisèrent leur traversée héroique le jour du 20 septembre 1944. Pendant cette action militaire 48 soldats ont rendu l’âme. L’oeuvre d’art est un travail de lumière et de temps, et fait référence à cet évènement historique. Au moment du crépuscule, après que les lumières de la ville aient été allumé, 48 paires de poteaux d’eclairage sont allumées une par une, au rythme d’un pas lent. Les poteaux sont allumées depuis la rive gauche et illuminent progressivement la ligne de 950 mètres le long du pont. La lumière prend 12 minutes pour ‘traverser’.
Le point de départ: un monument de guerre. Voici un espace bien clair et lisible. Le paysage de digues fût préservé et l’on a créé un espace pour des commémorations et des cérémonies sans pour autant hypothéquer l’infrastructure.
A Hardenberg, la Vallée du Vecht fût aménagée comme parc naturel.
Atelier Veldwerk proposa de réaliser plus d’unité dans tous les éléments d’aménagement solitaires (bancs, appontements, signalétique, clôtures, etc.). Suite à une inventarisation d’éléments existants, un manuel ‘Staalkaarten voor het Vechtpark’ (‘Echantillons pour le Vechtpark) fût écrit, ayant sa propre grammaire, qui sert de ‘manuel de créateur’ pour le parc.
Dans Hardenberg (Overijssel) le Vechtdal (Vallée de la fleuve Vecht) a été réorganisée comme une réserve naturelle. Atelier Veldwerk a fait une ‘methode’ en vue d’unifier tous les éléments paysagers (sièges, jetées, quais, cabanes, panneaux, sentiers, clôtures, etc.) La recherche a été fait dans le paysage étendu et le résultat a été résumé dans une inventaire d’elements paysagers. Ceci formait la base pour “Echantillons pour le Vechtpark”, qui sert comme manuels pour tous les concepteurs du parc pour. Il s’agit dans ce manuel du règles grammaticales ou la note dominante de tous les matériaux, les objets et les plantations; éléments qui font de cette partie du vallée un parc. Ce sont donc pas de conceptions concrets mais de modèles, bien que des différents éléments sont conçus et mis en œuvre sur le terrain, à la fois par Atelier Veldwerk (banques, une cabanne d’observations, des sentiers, les garde-corps).
Atelier Veldwerk dessina le concept paysager et le dessin pour les éléments d’aménagement nature pour la réserve naturelle du Zwin. Tandis que l’architecture des constructions communique avec les cabanes des polders et exprime pour ainsi dire une quelconque présense absente, les interventions paysagistes permettent d’obtenir une évidence naturelle. La dynamique naturelle, l’environnement influencée par les marées et la flore et fauna spécifiques forment une nature sauvage, écologiquement cohérente. Les créateurs veulent accentuer autant que possible les caractéristiques de ce paysage.
Atelier Veldwerk fut responsable pour la partie paysagiste de l’étude, en collaboration avec Atelier Arne Deruyter. Les propositions pour le domaine peuvent se résumer en gros à la dynamisation du paysage: via une série élaborée de petites interventions le paysage se charge fortement de façon sensorielle.
Etre présent dans un paysage – s’y promener, y rester, s’y reposer – rend possible la connexion avec ce paysage. On peut dès lors observer le paysage avec tous ses sens et l’expérimenter de façon consciente. Pour cette raison, on pense renforcer l’expérimentation à l’échelle du visiteur individuel par des moyens très simples, souvent paysagère. Nous proposons un épouvantail d’opérations à petite échelle qui rend le paysage plus dynamique, plus diverse et plus accueillant. L’inspiration fût l’analyse du domaine, mais également en étudiant les tableaux historiques, des dessins et des images du château de Gaasbeek les idées ont pû être nourri.
Parallèlement on met l’accent sur les fonctions utilitaires. Le paysage rapporte: on peut récolter le miel du château, l’on prévoit un verger de fruits à haute tige et un bois ‘cueillette’. Une série de petits éléments paysagèrs favorise une expérimentation sensorielle. Un jardin de fleurs et d’herbes aromatiques près de la maison du chapelain, des moutons qui broûtent les rives du fossé du château, une île d’oies à l’étang supérieur, une passerelle pour celui du milieu, un appontement de pêche à l’étang dit ‘courbé’…
La plupart de ces éléments rendent le paysage plus lisible et invitent à une utilisation plus intensive. Mais non seulement on stimule l’utilisation à travers un plus large spectre de couleurs, d’odeurs et d’éléments saisonniers. Car ces ajouts vont certainement favoriser la biodiversité.
Développement d’un jardin public aromatique et médicinal dans un parc populaire. Bénévoles maintiennent le jardin, le public peut choisir les herbes librement.
Le projet reflète la disposition et les fonctions possibles de l’espace public.
Le Jardin Essentiel est un jardin d’herbes aromatiques et médicinales qui a été aménagé en 2016 dans le cadre du festival urbain Parckdesign.
Il a été installé sur un grand rectangle symmétrique de 2500 m2 dans le Parc Duden à Bruxelles afin de faire rimer l’espace avec le caractère historique et formelle de cette partie du parc. Le Jardin se veut être un espace culturel questionnant, à propos des épices et de ses produits, en réunissant les riverains et autres intéressés.
Le jardin visuellement frappant était un tel succès que les bénévoles ont décidé de continuer à entretenir le jardin.
Dans la mesure où le jardin de plantes aromatiques s’entend comme un site de médecine et de nutrition, la question dépasse le simple cadre de nos jardins et de nos parcs pour inclure également nos cuisines, nos hôpitaux et diverses expressions culturelles. Le rôle culturel et social des espaces publics, la quête de l’essentiel, l’engagement croissant des communautés locales sont autant de thématiques qui suscitent le questionnement.
La question de la culture et de la nature résonnera donc dans toute la ville : qu’est-ce qui est essentiel pour nos modes de vie urbains contemporains ? Que voulons-nous pour nos parcs aujourd’hui ?
Le projet 48 plants, Course of Spring était conçu dans le cadre d’un programme de recherche international intitulé Motion of Spring 2012-2014: Evidences of Climate Change over 120 Years, organisé à Kaliningrad. Atelier Veldwerk organisa une exposition, une conférence et un atelier. En découvrant et étudiant l’espace urbain on était frappés par l’histoire complexe de la ville et la façon remarquable dont les habitants gèrent l’espace public, les jardins et les plantes.
Sur ces questions tres peu de littérature était disponible et sur les jardins botaniques de Kaliningrad il n’y avait complètement rien à trouver. On a donc été décidé de faire un guide (short guide) pour le Jardin botanique ‘Kantiana’. Ce travail peut être considéré comme un don d’artistes à tous les scientifiques et les bénévoles qui ont contribué à la préservation et l’entretien des deux jardins botaniques exceptionnels dans une ville avec une histoire sociale et geo-politiquement tellement complexe.
Le concept du parc est un paysage de polder dense de 13 ha. Tous les éléments d’aménagement, aussi bien la plantation que les éléments ‘culturels’ – ponts, barrages, cabanes et clôtures de terrain – ont été repris du paysage environnant. Atelier Veldwerk réalisa, à travers une analyse visuelle approfondie du paysage, la base pour la conception du parc. Le projet du Wickelhofpark utilise les éléments de paysage existants. Il n’y aura pas de couche rajoutée au paysage, mais on prend de ce qui est déjà présent. Ensuite on catégorise, on replace et on applique. De plus, le paysage est conçu comme plaine de jeu publique, on mise sur les possibilité implicites des éléments et du paysage, donc des objets de jeux explicites n’ont pas été utilisé.
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